Comment se passe une thérapie TCC ?

Il y a ces moments où les pensées tournent en rond, où le mental sature, et où le corps finit par parler plus fort que les mots. C’est souvent là que vous entendez parler des TCC. Mais concrètement, comment se passe une thérapie TCC ?

Que se passe-t-il vraiment quand on pousse la porte du cabinet pour la première fois ?

Chaque séance est un espace tenu, sécurisant, mais vivant.

On n’y vient pas pour être « analysé », mais pour collaborer. Pour remettre du mouvement là où tout s’est figé.

Pas à pas.

Entre observation clinique, exploration des pensées automatiques et retour au corps, la thérapie TCC repose sur une méthode à la fois ancrée dans la science et centrée sur le vivant.

Vous.

Je suis Oriane Marie, psychopraticienne en thérapie cognitivo-comportementale à Lyon.

Et je vous accompagne ici dans ce chemin intérieur, structuré, incarné et profondément humain.

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Comment se passe une thérapie TCC | Oriane Marie

Les 4 étapes structurantes d’une séance de TCC

Chaque rencontre commence par une attention totale à ce que vous vivez, ici et maintenant.

En thérapie cognitivo-comportementale, rien n’est laissé au hasard : la structure existe pour soutenir votre liberté, pas pour la contraindre.

D’abord, un temps d’accueil : comment ça va, vraiment ?

On fait le point sur ce qui a bougé, résisté, ou simplement existé depuis la séance précédente. Ce moment d’observation affine notre boussole thérapeutique.

Ensuite, on définit un ordre du jour commun. Ce que vous voulez explorer. Ce que votre corps, parfois, signale sans un mot. Ce cadre crée l’appui, mais le rythme reste le vôtre.

Pendant la séance, place aux outils concrets : auto-observation, restructuration cognitive, techniques corporelles ou émotionnelles. J’utilise notamment le modèle SORC, qui relie situation, émotion, réaction et contexte pour comprendre les boucles invisibles.

En fin de séance, je vous propose souvent un exercice à poursuivre chez vous.

C’est la prolongation naturelle du travail : un passage du « comprendre » au « vivre ».

Parce qu’une thérapie TCC, c’est avant tout un aller-retour constant entre le cabinet et la vie réelle.

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L’analyse fonctionnelle, le cœur scientifique du travail thérapeutique

Avant d’agir, j’observe. Avant de guider, j’écoute.

Chaque séance repose sur ce cœur méthodologique : l’analyse fonctionnelle.

C’est le moment où tout se clarifie, où l’on met en lumière ce qui relie vos émotions, vos pensées et vos gestes.

Je m’appuie notamment sur le modèle SORC.

C’est un outil précis qui éclaire la dynamique entre situation, organisme, réponse et conséquences. Alors oui, c’est une grille, mais surtout, c’est un regard neuf sur votre expérience.

À partir de là, je formule des hypothèses thérapeutiques, que nous testons ensemble, avec douceur et rigueur.

C’est ici que l’on commence à effleurer les croyances limitantes : ces réflexes mentaux anciens qui vous enferment sans que vous vous en rendiez compte.

Progressivement, vous devenez observateur de vous-même, puis acteur du changement.

Cette conscience nouvelle n’a rien d’abstrait : elle donne un pouvoir d’agir tangible, enraciné, tranquille.

Les techniques actives, quand la théorie rencontre l’expérience

Il y a des moments où comprendre ne suffit plus. Alors, on entre dans l’expérience directe.

En séance, j’utilise des techniques actives issues de la TCC, adaptées à votre état du moment. Chaque outil est une invitation à ressentir autrement, penser autrement, réagir autrement.

Souvent, tout part d’une situation concrète.

Un déclencheur, une tension, un réflexe d’évitement. On remonte la chaîne : pensée, émotion, comportement.

C’est là que la restructuration cognitive intervient : repérer ces phrases intérieures qui vous freinent, les dérouler, les reformuler. Et déjà, le poids change de place.

Parfois, c’est le corps qui prend le relais : respiration consciente, relaxation, ancrage sensoriel.

Car les émotions ne se pensent pas d’abord.

Elles se vivent dans la peau, les muscles, la gorge, le souffle. Travailler avec le corps, c’est redonner au système nerveux une zone de sécurité.

Il arrive aussi qu’on utilise l’exposition graduée.

Non pour « affronter » la peur, mais pour l’apprivoiser, lui donner un autre sens, une autre texture. C’est un outil clé dans le traitement des troubles anxieux ou des états dépressifs avec repli.

Dans comment se passe une thérapie TCC, cette phase active, incarnée, fait toute la différence. C’est une expérience vivante, où le changement se teste, s’éprouve, se ressent.

Je ne vous demande pas d’être parfait.

Je vous propose simplement d’essayer. Et j’accueille avec la même présence ce qui avance, ce qui résiste, ou ce qui tremble encore.

Les devoirs thérapeutiques, prolonger l’apprentissage en dehors du cabinet

Une séance de TCC ne se termine pas quand la porte se referme.

Les devoirs thérapeutiques ne sont pas des obligations, mais des ponts entre la séance et le quotidien.

Ils ancrent le travail dans le réel, dans les gestes, dans le temps qui passe.

Parfois, c’est un journal de pensées. Vous notez ce qui émerge, sans filtre. D’autres fois, un défi comportemental : retenter une activité évitée, oser une discussion, planifier un moment de soin.

Ces petits pas créent des transformations durables, parce qu’ils rééduquent le cerveau à réagir autrement.

D’ailleurs, ceux qui s’impliquent activement dans ces exercices progressent plus vite et consolident leurs changements dans la durée. C’est ce que l’on appelle de la neuroplasticité en action.

Ces retours entre les séances deviennent nos balises thérapeutiques : ils montrent où ça s’ouvre, où ça coince, où la vie revient.

>>> Je prends rendez-vous pour une thérapie TCC à Lyon avec Oriane Marie

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